

je suis quelqu'un de simple !! j'aime le milieu associatif le bénévola !! le dialogue êtres a l'écoute , très indépendante , j'aime la vie , je fais de l'aide aux devoirs avec les enfants (soutiens scolaire) depuis 18 ans dans un centre socio culturel dons je fais parti depuis 1992 ce blog est proteger
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audeline01, Posté le samedi 20 février 2016 12:58
TARZAN599
a écrit : "BON SAMEDI ET BON WEEK END BIZZZZZ
"
bonsoir me voila donc chez toi c'est le weekend de la pluie chez moi et en plus c'est venteux aussi !! aussi les vacances et je vais profiter de mes loulous les jumeaux he oui que du bonheur c'est du travail car ils ont que 5 ans mais quelle plaisir je te souhaite une bonne soirée moi se sera devant THE VOLCE bonne nuit bisous margot
acteursactrices, Posté le samedi 20 février 2016 11:21
Jalousie
Pierre Corneille
N’aimez plus tant, Phylis, à vous voir adorée :
Le plus ardent amour n’a pas grande durée ;
Les n½uds les plus serrés sont le plus tôt rompus ;
A force d’aimer trop, souvent on n’aime plus,
Et ces liens si forts ont des lois si sévères
Que toutes leurs douceurs en deviennent amères.
Je sais qu’il vous est doux d’asservir tous nos soins :
Mais qui se donne entier n’en exige pas moins ;
Sans réserve il se rend, sans réserve il se livre,
Hors de votre présence il doute s’il peut vivre :
Mais il veut la pareille, et son attachement
Prend compte de chaque heure et de chaque moment.
C’est un esclave fier qui veut régler son maître,
Un censeur complaisant qui cherche à trop connaître,
Un tyran déguisé qui s’attache à vos pas,
Un dangereux Argus qui voit ce qui n’est pas ;
Sans cesse il importune, et sans cesse il assiège,
Importun par devoir, fâcheux par privilège,
Ardent à vous servir jusqu’à vous en lasser,
Mais au reste un peu tendre et facile à blesser.
Le plus léger chagrin d’une humeur inégale,
Le moindre égarement d’un mauvais intervalle,
Un sourire par mégarde à ses yeux dérobé,
Un coup d’½il par hasard sur un autre tombé,
Le plus faible dehors de cette complaisance
Que se permet pour tous la même indifférence ;
Tout cela fait pour lui de grands crimes d’état ;
Et plus l’amour est fort, plus il est délicat.
Vous avez vu, Phylis, comme il brise sa chaîne
Sitôt qu’auprès de vous quelque chose le gêne ;
Et comme vos bontés ne sont qu’un faible appui
Contre un murmure sourd qui s’épand jusqu’à lui.
Que ce soit vérité, que ce soit calomnie,
Pour vous voir en coupable il suffit qu’on le dit ;
Et lorsqu’une imposture a quelque fondement
Sur un peu d’imprudence, ou sur trop d’enjouement,
Tout ce qu’il sait de vous et de votre innocence
N’ose le révolter contre cette apparence,
Et souffre qu’elle expose à cent fausses clartés
Votre humeur sociable et vos civilités.
Sa raison au dedans vous fait en vain justice,
Sa raison au dehors respecte son caprice ;
La peur de sembler dupe aux yeux de quelques fous
Etouffe cette voix qui parle trop pour vous.
La part qu’il prend sur lui de votre renommée
Forme un sombre dépit de vous avoir aimée ;
Et, comme il n’est plus temps d’en faire un désaveu,
Il fait gloire partout d’éteindre un si beau feu :
Du moins s’il ne l’éteint, il l’empêche de luire,
Et brave le pouvoir qu’il ne saurait détruire.
Voilà ce que produit le don de trop charmer.
Pour garder vos amants faites-vous moins aimer ;
Un amour médiocre est souvent plus traitable :
Mais pourriez-vous, Phylis, vous rendre moins aimable ?
Pensez-y, je vous prie, et n’oubliez jamais,
Quand on vous aimera, que l’amour est doux
pattyvend, Posté le samedi 20 février 2016 10:58
Jalousie
Pierre Corneille
N’aimez plus tant, Phylis, à vous voir adorée :
Le plus ardent amour n’a pas grande durée ;
Les n½uds les plus serrés sont le plus tôt rompus ;
A force d’aimer trop, souvent on n’aime plus,
Et ces liens si forts ont des lois si sévères
Que toutes leurs douceurs en deviennent amères.
Je sais qu’il vous est doux d’asservir tous nos soins :
Mais qui se donne entier n’en exige pas moins ;
Sans réserve il se rend, sans réserve il se livre,
Hors de votre présence il doute s’il peut vivre :
Mais il veut la pareille, et son attachement
Prend compte de chaque heure et de chaque moment.
C’est un esclave fier qui veut régler son maître,
Un censeur complaisant qui cherche à trop connaître,
Un tyran déguisé qui s’attache à vos pas,
Un dangereux Argus qui voit ce qui n’est pas ;
Sans cesse il importune, et sans cesse il assiège,
Importun par devoir, fâcheux par privilège,
Ardent à vous servir jusqu’à vous en lasser,
Mais au reste un peu tendre et facile à blesser.
Le plus léger chagrin d’une humeur inégale,
Le moindre égarement d’un mauvais intervalle,
Un sourire par mégarde à ses yeux dérobé,
Un coup d’½il par hasard sur un autre tombé,
Le plus faible dehors de cette complaisance
Que se permet pour tous la même indifférence ;
Tout cela fait pour lui de grands crimes d’état ;
Et plus l’amour est fort, plus il est délicat.
Vous avez vu, Phylis, comme il brise sa chaîne
Sitôt qu’auprès de vous quelque chose le gêne ;
Et comme vos bontés ne sont qu’un faible appui
Contre un murmure sourd qui s’épand jusqu’à lui.
Que ce soit vérité, que ce soit calomnie,
Pour vous voir en coupable il suffit qu’on le dit ;
Et lorsqu’une imposture a quelque fondement
Sur un peu d’imprudence, ou sur trop d’enjouement,
Tout ce qu’il sait de vous et de votre innocence
N’ose le révolter contre cette apparence,
Et souffre qu’elle expose à cent fausses clartés
Votre humeur sociable et vos civilités.
Sa raison au dedans vous fait en vain justice,
Sa raison au dehors respecte son caprice ;
La peur de sembler dupe aux yeux de quelques fous
Etouffe cette voix qui parle trop pour vous.
La part qu’il prend sur lui de votre renommée
Forme un sombre dépit de vous avoir aimée ;
Et, comme il n’est plus temps d’en faire un désaveu,
Il fait gloire partout d’éteindre un si beau feu :
Du moins s’il ne l’éteint, il l’empêche de luire,
Et brave le pouvoir qu’il ne saurait détruire.
Voilà ce que produit le don de trop charmer.
Pour garder vos amants faites-vous moins aimer ;
Un amour médiocre est souvent plus traitable :
Mais pourriez-vous, Phylis, vous rendre moins aimable ?
Pensez-y, je vous prie, et n’oubliez jamais,
Quand on vous aimera, que l’amour est doux
moniquegwada971non-dispo, Posté le samedi 20 février 2016 06:34
je te le pic bisous
nicky98, Posté le samedi 20 février 2016 05:44
Coucou mon amie
Bien le Bonjour
En ce samedi
Il y a quatre belles choses dans ce monde
La première c'est la Vie
La deuxième c'est l'Amour
La troisième c'est l'Amitié
La quatrième c'est la personne
Qui est en train de lire ce commentaire
Prends bien soin de toi
Je te souhaite une excellente journée
Gros bisous de nicky
zet-momo, Posté le samedi 20 février 2016 02:33
BONJOUR TOI
je viens en se samedi
avec mon parapluit
et une tasse de café
bien chaud car dehor
il ne fait pas beau dommage
il a bien radoucie mais
la pluit et la voila tout ceux
que je peut toffrire
pour se wk
╭ ╯╭╯╭╯ gros bisous
███████ ═╮ josette ton amie
█☆★☆★█ ▏ ▏*✶
███████ ═╯
michelfermand, Posté le samedi 20 février 2016 02:15
..
TRÈS BON WEEK END MA CHÈRE MARION
POUR L AVESNOIS SON BEAU MANTEAU BLANC
A DISPARU CES NUIT CAR LA PLUIE ET LE VENT
A FAIT LE MÉNAGE MAIS EN CONTRE PARTIE
IL VAS FAIRE 9 A 10 DEGRÉS D APRES LA MÉTÉO ???
GROS BISOUS DE TES DEUX AMIES MICHEL ET ODETTE
moniquegwada971non-dispo, Posté le vendredi 19 février 2016 17:21
Bonne. Nuit Margot. Bisous
josy41, Posté le samedi 20 février 2016 17:14
Coucou ma petite Margot
Me voici encore avec le mauvais temps, ça ne va pas arranger mon manque de tonus...
J'espère que tu as bien entamé ton WE
Je te souhaite une bonne soirée
Gros bisous
Josy
HUMOUR : CHUT !
- Docteur ! Mon mari affirme que je parle en dormant. Que puis-je faire ?
- Faites bien attention à ce que vous dites !